EROTIX - VOS HISTOIRES EROTIQUES

Je poste une seconde fois ce récit, car le premier avait des problèmes aux niveaux des accents

Cette histoire est écrite pour shangrila17. N'hésitez pas à vous rendre sur son profil et visualiser ses photos pour vous l'imaginer d'autant plus en lisant ce texte


Shangrila était une de ces femmes dont l'âge avait apporté la maturité, l'expérience et l'élégance que les hommes appréciaient avec une certaine déférence mêlée à une excitation latente dont l'origine remontait à leur tout premier fantasme d'adolescent. 

Ce jour là elle était accompagnée de son compagnon qui l'emmenait dans un hôtel où il lui réservait une surprise. Sur sa demande elle avait revêtue de la lingerie affriolante : un porte-jarretelle et des bas noirs, une culotte et d'un caraco satinés aux motifs floraux brodés. Par dessus elle portait une simple robe de tissus qui flottait au vent, et une paire de chaussures à talon.

Elle entra en première dans la chambre. Il referma la porte derrière eux avant de se jeter sur elle sans plus de préambule, pour la saisir par la taille et l'embrasser. Ses mains roulaient sur ses fesses délicates, froissant le tissus de la robe qui glissait sur le satin de sa culotte. Leurs langues n'en finissaient plus de s'entremêler avant qu'il ne la couche sur le lit en remontant les mains le long de son corps pour lui enlever ses vêtements. Tout en continuant de l'embrasser, il entremêla ses doigts au siens et ramena ses bras au dessus de la tête. Il lui attacha ses poignets à la tête de lit et elle se laissa faire le regardant avec un sourire espiègle aux lèvres. Il glissa ensuite le long de son corps en prenant soins de déposer de nombreux baisers et fit de même avec ses chevilles. Pour finir, il alla chercher une écharpe pour lui bander les yeux. Il se coucha une dernière fois contre elle et lui susurra à l'oreille :

— Je t'avais promis une surprise, la voici. Maintenant que tu es chaude et bien attachée, je vais te laisser seule dans la chambre mais pas longtemps... J'ai contacté des amis que tu ne connais pas pour qu'ils viennent profiter de toi. Uniquement pour cette fois. J'espère qu'ils laisseront libre court à leurs envies et profiteront bien de toi.
— Quoi ? S'étonna Shangrila. Attends, reviens ! S'exclama t-elle lorsqu'elle l'entendit partir.

La porte se referma et Shangrila restait là, accrochée au lit, abandonnée dans sa lingerie élégante. Elle resta un long moment dans le silence de sa chambre jusqu'à entendre le bruit de la serrure se déverrouiller. Quelqu'un entra sans faire de bruit. Shangrila émit un timide « bonjour » qui ne reçut aucune réponse. Elle sentait la présence de l'homme autour d'elle. Il demeurait silencieux mais elle s'imaginait aisément qu'il devait le regarder sous toutes les coutures, habillée ainsi et surtout totalement offerte. Elle se sentait un peu honteuse, mais en même temps très excitée.

Une main se posa. Le contact de la paume de l'homme autour de son pied satiné fit tressauter Shangrila par surprise. Elle se détendit à nouveau, et la main remonta lentement le long du bas jusqu'à la cuisse. Il fit de même pour ses bras, son ventre et ses seins à travers, et Shangrila pouvait désormais entendre sa respiration qui s'accélérait au fil de ses caresses. Elle sentit aussi son souffle lorsque de la pointe de sa langue, il vint lui chatouiller ses lèvres. Elle enroula sa sienne autour tandis qu'il agrippa son sein gauche qu'il pétrit au rythme de leurs baisers. Il caressa sa gorge, l'embrassa et glissa son index jusqu'au bord du caraco pour faire sortir son téton afin de lui sucer. Tout en ce faisant, il plongea sa main pour aller frotter à travers sa culotte, une fente dont l'excitation avait déjà humidifié le tissu. Il se glissa ensuite contre son corps pour lui dénouer les chevilles, toujours sans émettre le moindre mot. Il retroussa ses jambes contre ses seins, et écarta ses cuisses. Shangrila, docile, se maintint dans cette position offerte et elle sentit avec plaisir la langue de l'homme inconnu venir lécher sa vulve. Ses mains courraient sur son corps au rythme de ses coups de langue qui s'accéléraient avec l'excitation. Il lui malaxait les seins quand dans un soupir, Shangrila lui demande son nom. Elle n'eut aucune réponse, pas même une interruption de sa part...

Elle sentit sa tête lui quitter son entre-jambe, et l'entendit se dévêtir. Il grimpa sur le lit, s'agenouillant au dessus de la tête de Shangrila qui ouvrit sa bouche anticipant ses gestes. Elle fut surprise par la taille de son sexe lorsqu'elle sentit un gland gonflé et très dur se poser contre ses lèvres. Elle enroula aussitôt sa langue autour, tossant le musc de son sexe qui perlait déjà à son méat. Les bras écartés et attachés, elle avait son visage offert aux perversités de cet inconnu. Il jouait avec les envies de Shangrila, ressortant sa verge de sa bouche pour l'obliger à le chercher en tâtonnant avec sa langue. Et quand en frottant son visage contre son gland elle arrivait à l'engloutir de nouveau, il agrippa sa tête pour rentrer sa bite à lui en baiser sa gorge.

Shangrila le suçait tellement bien, alternant sussions et lapements, qu'il ne put rés****r plus longtemps à l'envie de la prendre, de la pénétrer, de la posséder avec sa queue toute entière. Il lui souleva une jambe et serra sa cuisse contre son torse et en profita pour lui lécher le mollet à travers ses bas. Il lui écarta son entre-jambe, pour se blottir dans la tiédeur de son entre cuisse. Son dard piqua délicieusement le clitoris de Shangrila, et s'y frotta plusieurs fois en s'installant confortablement dans le foyer de ses lèvres. Son gland noyé dans sa mouille rentra sans effort dans l'orifice moelleux, l'ouvrant à mesure qu'il s'enfonçait profondément en elle, amenant avec sa verge des chatouillements au creux de son ventre.

L'inconnu s'agrippait fort à la jambe de Shangrilla pour la baiser à la hauteur de l'envie qu'il avait pour elle. Les soubresauts que lui enjoignaient ses coups de bites, faisaient vibrer la chaussure en équilibre précaire au bout de la jambe tendue en l'air.

La porte s'ouvrit et Shanrila s'en inquiéta entre deux gémissements :

— Atte... C'est … C'est toi mon chéri ?

Aucune parole ne lui répondit, seul le bruit d'une braguette que l'on dézippe se fit entendre, et bientôt la verge d'un second inconnu vint à la rencontre de la bouche que le souffle du plaisir laissait ouvert. Docile, et soumise à cette pine qui la domptait par le vagin, elle accepta cette nouvelle venue par une jolie sussions.

Le nouvel inconnu détacha du lit les poignets endoloris de Shangrila pour que l'autre homme, la saisissant par le bassin, puis la retourner et la mettre à quatre pattes, appuyant sur sa taille afin de la cambrer et s'offrir la vue de son joli cul qui implorait sa bite. L'homme tâta le fond de son vagin avec son gland hargneux, et son bassin n'en finissait plus de claquer contre sur les fesses rougies de Shangrila, tandis que ses couilles recouvertes de mouille s'occupaient de lui fouetter son clitoris. Alors que sa chatte subissait les assauts d'une grosse verge rigide, elle se faisait f***er la bouche par l’autre homme qui la maintenait par les cheveux afin de l'obliger à saliver sur sa trique toute décalottée par l'envie. Elle était le soulagement de leurs envies, l'inconnue offerte dans une chambre d'hôtel avec laquelle tous les fantasmes étaient envisageables. Ils étaient deux hommes aux membres plein de virilité, deux impromptus qui ne se gênaient pas pour s'inviter au fond d'elle et abuser de ses générosités naturelles.

Après un plaisir des plus agréables, le premier inconnu se retira, laissant une vulve gonflée aux lèvres grandes ouvertes. Il saisit les poignets de Shangrila qui s'était mise assise sur le lit, les joignit entre eux pour les attacher au dessus de sa tête. Debout derrière elle, la tenant par les bras, il la souleva pour que le second homme puisse se glisser en dessous d'elle. Son gland dardé vers le haut ripa dans sa fente. Il joua à se frotter la bite contre sa chatte en l'agrippant par le cul pour lui faire des mouvements de vas et viens sur sa pine. Lorsqu'elle fut enduite de cyprine à en briller, il lui écarta les lèvres avec deux doigts et s’immisça dans son con. Shangrila se trémoussait envahie par cette bite imposante qui vibrait contre les parois de son vagin. Son clitoris se frottait contre le pubis de l'inconnu alors qu'elle demeurait maintenue par le second homme qui tenait toujours ses poignets au dessus d'elle, et qui malaxait également ses seins sans aucune douceur.

Les deux queues s'étaient dépensées dans les orifices généreux de Shangrila, arrachant leur plaisir sans pudeur. Mais la belle était tellement excitante et offerte dans sa tenue désormais débraillée, que les deux hommes ne purent retenir plus longtemps leur envie de jouir. Ils attachèrent à nouveau Shangrila sur le lit comme ils l'avaient trouvé et se mirent de part et d'autre de ses seins.

Toujours les yeux bandés, elle les entendait en train de s'activer sur leur manche qui parfois venait se frotter contre ses beaux seins généreux, en titillant leur frein sur les tétons durcis. Les couilles étaient retroussées, les verges tendues ; les glands ne pouvaient contenir plus longtemps l'orgasme acculé au bout de leur sexe.

Le foutre jaillit pratiquement au même moment de part et d'autre de Shangrila, et elle sentit les traits de sperme chaud cingler ses seins. L'excitation qu'elle leur avait procuré leur fit jaillir jusqu'à la dernière goutte de jus de couilles, et tout se retrouver à perler, arroser, glisser sur sa poitrine.

Elle entendit les deux hommes se revêtir et sortir de la chambre d'hôtel, sans même avoir dit aurevoir. Ils la laissèrent comme ils l'avaient trouvé, plus ou moins ...